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 Alexander - La classe à l'italienne.

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M. Alexander Bertuzzi

M. Alexander Bertuzzi

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MessageSujet: Alexander - La classe à l'italienne.   Alexander - La classe à l'italienne. Icon_minitimeMar 27 Aoû - 3:47

Your eyes, they shine so bright, I want to save that light.

Hey les petits sorciers! Moi c'est Michelangelo Alexander Bertuzzi, j'ai actuellement 30 ans et je le vis relativement bien. Je suis d'origines Italiennes et je suis né(e) le 26 juin 1983 à Milan. A Angirraq, je suis infirmier et je fais parti(e) du groupe personnel. Pour ce qui est de ma vie matrimoniale, je suis Célibataire et en plus de ça, je suis Hétérosexuel, soyez pas triste. Finalement, on dit souvent que je ressemble à Matthew Bomer, et tout ça grâce à Tumblr.



    Vous êtes plutôt tête de mule ou agneau ? Dites nous en plus sur votre caractère.
    Alexander est un homme très sensible, attentionné et fidèle, il a toujours eu un besoin de protéger autrui au dépens de son propre bien être. Très gentil, parfois trop, il n'est cependant pas naïf et sait reconnaître les gens mal attentionnés. Il est timide lorsqu'il ne connait pas et devient rapidement très bavard. Alexander garde de ses origines italiennes une galanterie très poussée, qu'il utilise à son avantage dans l'art de la séduction qu'il maîtrise assez bien. Conscient de son charme, il sait parfaitement en jouer, tout en restant très classe et poli avec la gente féminine. Malgré tout, sa peur évidente de l'engagement et son protectionnisme accru à parfois tendance à éloigner les demoiselles. Alexander fut à l'école ce que l'on appelle un intello et a toujours pris au sérieux ses études, conscient de l'importance qu'elles jouaient dans son futur, il a par la même occasion développé un talent non négligeable pour les potions, ce qui lui est très utile pour son métier.

    Nous avons tous nos lubies, manies et autres habitudes, quelles sont les vôtres ?
    Alexander a certes de beaux yeux bleus, mais ces derniers lui ont souvent causés du tord. Ils sont en effet très fragiles, ne supportent pas le soleil et il est hypermétrope, ce qui l'oblige à porter des lunettes de vue pour voir de prêt. Il lui manque une phalange à l'annulaire droit, qu'il a perdu suite à une bagarre plutôt violente. Il a tendance à faire pivoter sa bague de famille autour de son majeur gauche lorsqu'il stresse. Il n'aime pas du tout les chats, il les trouve méchants. Il adore porter des chemises, elle lui donne l'impression d'être important. Il ne passe pas un jour sans avoir fait du sport, il aime s'entretenir. Il est un peu maniaque et n'aime pas vraiment le désordre. Il aimerait bien avoir des enfants, mais a peur de s'engager avec une femme. Il se préfère avec la barbe et n'aime pas sa tête avec des lunettes. Il a tendance à "parler avec les mains" lorsqu'il s'exprime. Il est dyslexique léger et confond les t-d et p-b. Alexander a horreur de son premier prénom et a décidé de lui-même de basculer sur le deuxième à quinze ans. Il adore le fromage français et surtout le chaumes. Au passage, la charcuterie reste son péché mignon. Pour finir, il est très sportif, mais n'a jamais aimé le Quidditch et ne s'est jamais senti à l'aise sur un balai.  

    Que pensez-vous du rassemblement d'élèves au sein de l'école ? Comment le vivez vous ?
    Pour Alexander, le regroupement est la chose la plus intelligente que les directeurs ont décidés de faire depuis bien longtemps. Certes, la cohabitation est parfois tendue et le nombre d'élèves ne facilite pas la tâche, mais le château est vivant et Alexander s'y set bien. En tant qu'infirmier, il a une vue d'ensemble sur ce qui se passe et il est certain que l'école a encore de beaux jours devant elle. Il a certes tendance à se voir justicier des classes pauvres, mais au final il s'entend très bien avec ses collègues et avec les élèves en général. Pour lui le rassemblement est vraiment une manière de découvrir de nouveaux horizons et de nouvelles cultures et c'est la raison pour laquelle il a demandé à être muté lorsqu'il en a appris la création.


pseudo : mahana. prénom : Camille. âge : 18 ans. pays : Tahiti. présence : 7/7j. t'es arrivé(e) ici comment ? Disons que je suis co-fondatrice, donc par la porte d'entrée. tu trouves Angirraq comment ? Magique ♥. commentaire de la fin : des bisouuuus.
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[code]Matthew Bomer - M. Alexander Bertuzzi[/code]


Dernière édition par M. Alexander Bertuzzi le Mar 27 Aoû - 9:49, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Alexander - La classe à l'italienne.   Alexander - La classe à l'italienne. Icon_minitimeMar 27 Aoû - 3:47

I've seen the world, lit it up as my stage now.

Un rat, noir et sale passe entre deux poubelles. Là, au milieu des ordures, une femme, seule et amaigrie tient entre ses mains un petit bébé à peine né. Par un effort surhumain, elle a réussit à donner la vie, seule, sans aucune aide. Mais il va falloir qu’on l’aide s’ils veulent survivre elle et son bébé. « Michelangelo… » Elle soupire une dernière fois avant de laisser glisser autour du cou du nourrisson une médaille gravée à ce nom. Ce fut là les derniers gestes de cette mère à son fils. L’on retrouva le corps froid enroulé autour d’un petit bébé de deux jours qui avait miraculeusement survécu grâce à sa mère. Un couple était présent lorsque la découverte fut faite. Clélia et Antonio Bertuzzi tentaient depuis prêt de deux ans d’avoir un enfant et ce dernier finit par apparaître, caché derrière des poubelles. Ils gardèrent son prénom, celui qui était gravé sur son pendentif et l’élevèrent comme leur fils. Ils ne roulaient pas sur l’or, Antonio n’était qu’un simple ouvrier et Clélia, une caissière ayant abandonné sa vie en France pour suivre son époux. Les fins de mois étaient difficiles, souvent froides, lorsque l’on coupait l’électricité par faute de payement. Michelangelo grandissait bien, ne se souciant guère de ne pas avoir tous les jouets qu’il voyait pourtant chez ses amis. Peu lui importait de posséder beaucoup de choses, tant qu’il pouvait lire et aller à l’école.

Pourtant un jour les choses tournèrent mal. Une dispute violente, bien plus violente que d’habitude, éclata au sein du couple. Son père finit par enfoncer un tesson de bouteille dans la cuisse de sa mère, qui finit à l’hôpital. Michelangelo avait cinq ans. A partir de ce moment, sa vie bascula. Lancée dans des procédures de divorce interminables, Clélia ne remarqua même pas que son fils faisait voler des bougies ou faisait disparaître ses petits pois dans son assiette. Ils finirent en France, à Lyon, loin de son père et de Milan. Le petit garçon dû apprendre à parler français, à se faire de nouveaux amis alors qu’il se demandait ce qui lui arrivait et pourquoi est-ce qu’il faisait certaines choses sans le vouloir. Il n’en voulait pas à sa mère et pourtant celle-ci le délaissait énormément. Passant les trois quarts de son temps chez ses grands-parents, Michelangelo devint un petit garçon plutôt timide et très sérieux à l’école. Il se concentrait le plus possible sur ses études pour un jour pouvoir avoir un métier qui permettrait à lui et à sa mère de vivre correctement.

Et voilà un hibou qui frappe à la fenêtre, le petit garçon assis dans son lit à lire un livre, lève la tête surpris. Après s’être précipité à la fenêtre, en s’empêtrant dans les draps à cause de ses lunettes, deux yeux bleus magnifiques, fixent ahuris une lettre joliment calligraphiée à son nom. « Beauxbâtons, l’école de magie est heureuse de vous ouvrir ses portes à la rentrée prochaine. » Michelangelo était donc un sorcier. Chez lui, la nouvelle fit l’effet d’une bombe. Sa mère qui brillait par son absence fut tellement choquée par cette nouvelle, qu’elle dû rester au repos quelques jours. Le petit garçon lui-même mit du temps à s’y faire. Il était sorcier, ce qui expliquait bon nombre des phénomènes étranges qui l’entouraient. L’excitation était à son comble et c’est tout fier qu’il franchit les portes de l’élégante école de sorcellerie française. Composée majoritairement de filles, Michelangelo fut d’abord impressionné. Mais il se révéla vite être un élève brillant et plutôt doué en magie, sa persévérance et son envie de travailler le mettant au-dessus des autres. Il adorait les potions et la défense contre les forces du mal et son endroit préféré était la bibliothèque. Il eut rapidement des sobriquets péjoratifs concernant son assiduité au travail et sa passion pour les gros livres.

Cependant, malgré son côté intello et rat de bibliothèque, les années passant, Alexander, puisqu’il décida de basculer sur son deuxième prénom, le premier lui rappelant trop le souvenir douloureux d’un père perdu, Alexander donc, ne laissait pas les demoiselles indifférentes. Ces dernières trouvaient le côté timide du garçon très attirant et celui-ci s’était fait la promesse de toujours être galant et courtois avec les demoiselles. En cinquième année, il sortit près de six mois avec une jolie blonde du sud de la France, Estelle, qui finit par lâchement le quitter, sous prétexte qu’il s’occupait plus de ses études que d’elle. Cette relation fit beaucoup souffrir Alexander qui ne comprit jamais la raison de la séparation. Il obtenu de très bons résultats lors des examens et prit la décision de poursuivre ses études en médicomagie.

Sa nature protectrice le poussa dans ses études, il ressentait ce besoin de prendre soin de ses patients, d’aller jusqu’au bout pour les voir guérir, reprendre du poil de la bête. Durant sa formation, un patient de St Mangouste finit par rendre son dernier souffle, rongé par la maladie. Alexander eut beaucoup de mal à accepter ce départ, il s’entêta sur le défunt et dû être endormi pour se calmer. Il comprit alors qu’il ne pourrait pas travailler à l’hôpital, en tant que médecin il en demandait trop à ses patients, en attendait trop de leur guérison. Son excessivité serait sa perte et il en était conscient. Une fois ses études finies, ses vingt-cinq bougies soufflées, il apprit que le poste d’infirmier à Beauxbâtons s’était libéré. Conscient de son niveau d’études et donc de son bagage en la matière il postula aussitôt. Ce poste était exactement ce qu’il lui fallait, à moins d’accidents vraiment graves, il n’aurait pas à faire face à des gens aux portes de la mort. Il pourrait soigner des gens et les voir guérir. Il fut accepté. Retourner dans son école, celle qui l’avait formé, et rendu tel qu’il était à présent, cela lui fit beaucoup de bien.  Là-bas il avait ses marques, ses repères. Puis elle arriva. Cette jolie demoiselle, aux yeux aussi bleus que lui, qui enseignait sa matière sous les yeux ébahis des élèves. A la base, elle n’était qu’une simple professeur de métamorphose, qui venait d’Angleterre et avait du mal avec la langue de Molière. Puis elle se blessa et vint lui rendre visite à l’infirmerie. Puis elle repassa sans raison, ils passaient beaucoup de temps ensemble, se trouvant beaucoup de points communs. Et pour la première fois depuis ses quinze ans, Alexander retomba amoureux. Il alla même jusqu’à la présenter à sa mère qui la trouva charmante. Ils passèrent deux ans en une idylle pratiquement parfaite. Jamais de coup d’éclats, jamais de disputes. Jusqu’au jour où le sujet du bébé arriva sur la table. Elle avait envie d’enfants, de mariage. Il n’était pas prêt, à vingt-huit ans, le souvenir douloureux du couple parental marquait encore son esprit. Il n’avait pas envie de s’engager dans une relation trop sérieuse. Leur première vraie dispute fut la dernière. Elle demanda à être mutée à Salem en plein milieu d’année, et disparut du jour au lendemain. Alexander encaissa le coup en redoublant d’efforts dans son travail. Il finit même par travailler à mi-temps à l’hôpital. Il se noyait dans son travail, refusant chaque avance que les femmes pouvaient lui faire ou bien les mettait dans son lit pour une nuit seulement.

Puis, la menace des mages noirs s’amplifia, il remarqua vite que les blessures d’élèves à l’infirmerie étaient plus graves, différentes d’avant. La directrice de l’école lui fit part de ses appréhensions et de l’idée qui germait de créer une nouvelle école en Alaska. Il accepta aussitôt de faire parti du projet. Rapidement, tout le monde se trouva embarqué dans cette nouvelle aventure et il prit ses fonctions au sein du Mont Katmai. L’école était fabuleuse et Alexander adorait cette idée de regrouper quatre écoles en une. Les nationalités différentes défilaient sous ses yeux et il pouvait s’enrichir peu à peu de leurs cultures. Mais il n’était pas  au bout de ses surprises. Elle était là. Avait décidé d’accepter le poste de professeur de métamorphose à Angirraq. Elle et ses beaux yeux bleus revenaient la hanter. Alexander a encore du mal à encaisser la nouvelle. Elle semble libre, n’a pas l’air d’avoir refait sa vie. Mais ils ne se sont pas encore reparlés, s’évitent même. Malgré tout, ils ne pourront pas jouer à ce petit jeu très longtemps. Il faudra bien qu’ils reparlent de ce qui s’est passé un jour ou l’autre. Alexander attend ce moment avec impatience et tente de se convaincre, que cette fois-ci, il ne la laissera pas partir.
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Alexander - La classe à l'italienne.

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